DIVERS
Voici ci-dessous des liens qui vous permettrons d'écoutez quelques phrases de cet homme.
Pour l'entendre avouer qu'il a fait des conneries. Il convient que j'ai tout fait pour le pousser à réagir dans le bon sens, pour qu'il fasse quelque chose pour se soigner.
Cliquez sur ce lien
Pour l'entendre avouer qu'il m'aime. C'était en juillet 2005. Il me harcelait toujours.
Cliquez encore
Pour l'entendre m'avouer qu'il n'arrêtait pas de me harceler. C'était 6 mois après notre séparation.
Cliquez
Ils n'ont heureusement jamais vu leur père me tabasser.
Par contre, ils étaient là quand il a pris l'arme.
Je vais vous expliquer de nouveau ce que mes enfants ont vécus. Je crois qu'il est important de relire ceci pour bien comprendre le mal être que cet homme a engendré à mes enfants.
Donc :
Ils m'ont entendu hurler "PAS L'ARME " plusieurs fois et après j'ai disparu quelques minutes.
Puisque leur père n'était pas arrivé à ses fins avec moi, il est, dans les 3 mns qui ont suivi, parti en voiture. Pour cela, il est passé devant les enfants avec le fusil à la main. Mais ça, à ce moment là je ne le savais pas.
Quand j'ai vu sa voiture monter le chemin je suis tout de suite revenue à la maison, les enfants étaient sur la terrasse en m'appelant paniqués.
Je les ai remis à table et tenté de faire comme si tout allait bien.
Victor m'a expliqué qu'il avait demandé à son père où il allait avec cet arme et qu'il lui avait répondu "qu'il allait tuer tous les animaux de la fôret". Sur ce, la voiture de cet homme redescend le chemin, je sais maintenant qu'il a l'arme dans la voiture, avec lui. Je prends donc mes enfants sous les bras, je les porte et cours me recacher chez ma belle soeur.
Je me permet d'insister sur ce passage pour que vous comprenniez bien combien mes enfants ont été perturbés, et le sont encore.
Vous pouvez cliquer sur cette ligne qui est un lien, ceci vous permettra de lire un extrait de mon procès verbal fait le soir même à la police.
Dès le lendemain j'ai fait appel à un pédospychiatre qui ne m'a donné rendez-vous que la semaine d'après. C'était long mais pourtant très rapide pour un pédopsychiatre. Je ne savais pas ce qui était intelligent de leur dire. Je voulais leur parler qu'après le conseil d'un professionnel. Ce que j'ai fait.
En attendant je leur ai dit que leur père était allé à la chasse avec des amis. (ce qu'il ne fesait jamais!).
Puis les jours suivants, en attente de rendez-vous, je leur ai raconté qu'il était en déplacement professionnel pour quelques jours.
Lors du rendez-vous avec le pédospychiatre nous leur avons expliqué avec des mots simples la vérité sur ce qui s'était passé.
En gros c'était : papa a un problème, parfois il ne sait pas se maîtriser et devient violent. Il a tapé plusieurs fois maman. Et le jour où vous avez vu l'arme il voulait s'en servir contre maman. Alors maintenant il est à l'hopital pour se faire soigner. Pour que votre papa aille mieux et qu'après il n'y ait plus jamais de problème.
Il fallait leur dire la vérité pour que plus tard les conséquences ne soient pas terrible, il ne faut pas leur mentir. C'était primordial pour leur futur équilibre. Ce que leur père bien sûr ne veut toujours pas comprendre.
Mes enfants ont donc été tout de suite pris en charge par une professionnelle. Ils y sont allés régulièrement pendant 2 ans.
Ma fille plus petite à mieux accusé le coup. Tandis que mon fils souffre encore à ce jour.
L'état psychologique de Victor n'était pas super et s'est même détérioré.
C'est en Décembre 2005 que sa pédospy m'a dit qu'il fallait que mon fils commence une psychanalyse plus poussée. Elle m'informe qu'il faut plus l'aider pour qu'il ne tombe pas malade. Il n'arrive pas à comprendre la vie et est perturbé, et n'a aucune confiance en lui. .
Elle m'a donc ordonné de prendre RDV avec une autre psy pour qu'il entame des soins avec une psy QU'A LUI, et qui ne le connait pas depuis le début. Apparament c'était important.
Ce que bien sûr j'ai fait. Depuis il y va tous les mercredis PM pendant 45mns.
Je vous propose de regarder les dessins qu'il ne cessait de faire au début de sa psychanalyse :
Je m'abstiens de tout commentaire.
Je voudrais que vous essayez que vous mettre à la place de mes enfants et de moi-même. Là vous allez peut-être prendre conscience de ce que nous avons vécu. Enduré...
C'est terrible pour une mère de vivre cette situation.
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La violence, sous quelque forme qu'elle se manifeste, est un échec. |